Un truc d'actualité, les OGM, ceux qui sont pour, ceux qui sont contre...(je suis pour)
Première erreur : prendre les OGM dans leur ensemble comme un tout, sans dissociation.
Autrement dit, quand on me parle d'OGM, je demande "Dans quel domaine ?" et là... blanc.
Les OGM sont partout. Le coton que vous portez, le soja que vous buvez, mangez (le soja non-OGM n'existe plus) jusqu'au fil chirugical (gène d'araignée, dans une bactérie , rigolo non?)
Avez vous déjà vu une vache laitière dans la nature, du blé, un cochon, une carotte, un fraisier avec des grosses fraises....non... c'est normal... tout a été modifié génétiquement. Certe avec des moyens de sélections étalés de quelques dizaines à quelques milliers d'années ou bien par mutation spontané et naturel que l'homme a ensuite décidé de multiplier. La sélection n'est pas naturelle, c'est l'homme qui a choisi de croiser tel ou tel variétés avec une autre ou de séléctionner un mutant et de le multiplier. (Mutant qui peut être naturel ou pas ; l'irradiation pour provoquer une mutation existe depuis bien avant que le mot OGM arrive dans l'actualité).
Ce qui sandaleux maintenant.
C'est que grâce à la capacité actuelle de modifier un gêne directement, sans passer par la reproduction. Des sociétés vendent des graines "résistantes" à une souche de phytopathogène. Mais qui sur les générations suivantes, n'est plus résistante. Ils faut donc racheter des graines. Ou pire, ils vendent ca dans des régions où le pathogène est trés présent et donc la probabilité pour qu'il y en ai un qui mute est forte. Après mutation du pathogène, la plante n'est plus resistante. (voir Résistance verticale)
Autre cas, les variétés F1 dont le croisement en 2ème génération (après resemi) présente des combinaison d'allèles létales. Ce qui fait rapidement diminuer le rendement. Ce qui oblige à acheter tj les mêmes F1 à la société productrice. Le cas le plus débile, c'est les OGM resistant aux herbicides. Comme ca, on peut passer à herbicide sur la culture, seul les mauvaises herbes sont détruites. Mais le sol (faune flore) est aussi détruit et les mauvaises herbes aussi finissent par acquérir des résistances. => Mort de l'écosystème
Revenons aux OGM en labo, la capacité de mettre directement un segment d'ADN (gène) dans le chromosome d'un individu, n'affecte en rien le risque alimentaire, on sait exactement pour qu'elle protéine code ce gène et si elle est toxique ou pas. Rem : les virus et des bactéries procéde de cette manière pour se multiplier, il introduise l'ADN dans le chromosome de la plante.
José Bové est d'abord qq de très petit esprit. Un peu comme ces gens qui s'attache au rail de chemin de fer pour empecher les convoits de déchets nucléaires (le nucléaire est quand même un bonne solution à moyen terme, ya d'autres problèmes bcp plus urgent comme les gaz à effet de serre)
Enfin voilà, arracher des plants de maïs pour des motifs bio c'est pas très net, et surtout pas cool pour l'agriculteur qui a déjà un métier assez difficile. Même l'environnement ne peut pas être touché, avec ces plants; les plants sauvages de maïs sont sous les tropiques et les croisements interspécifiques (entre espèces) est très peu probables. Autrement dit, le risque de dissémination est nul.
VIDEO A VOIR ABSOLUMENT (c'est un peu lent à charger)
Première erreur : prendre les OGM dans leur ensemble comme un tout, sans dissociation.
Autrement dit, quand on me parle d'OGM, je demande "Dans quel domaine ?" et là... blanc.
Les OGM sont partout. Le coton que vous portez, le soja que vous buvez, mangez (le soja non-OGM n'existe plus) jusqu'au fil chirugical (gène d'araignée, dans une bactérie , rigolo non?)
Avez vous déjà vu une vache laitière dans la nature, du blé, un cochon, une carotte, un fraisier avec des grosses fraises....non... c'est normal... tout a été modifié génétiquement. Certe avec des moyens de sélections étalés de quelques dizaines à quelques milliers d'années ou bien par mutation spontané et naturel que l'homme a ensuite décidé de multiplier. La sélection n'est pas naturelle, c'est l'homme qui a choisi de croiser tel ou tel variétés avec une autre ou de séléctionner un mutant et de le multiplier. (Mutant qui peut être naturel ou pas ; l'irradiation pour provoquer une mutation existe depuis bien avant que le mot OGM arrive dans l'actualité).
Ce qui sandaleux maintenant.
C'est que grâce à la capacité actuelle de modifier un gêne directement, sans passer par la reproduction. Des sociétés vendent des graines "résistantes" à une souche de phytopathogène. Mais qui sur les générations suivantes, n'est plus résistante. Ils faut donc racheter des graines. Ou pire, ils vendent ca dans des régions où le pathogène est trés présent et donc la probabilité pour qu'il y en ai un qui mute est forte. Après mutation du pathogène, la plante n'est plus resistante. (voir Résistance verticale)
Autre cas, les variétés F1 dont le croisement en 2ème génération (après resemi) présente des combinaison d'allèles létales. Ce qui fait rapidement diminuer le rendement. Ce qui oblige à acheter tj les mêmes F1 à la société productrice. Le cas le plus débile, c'est les OGM resistant aux herbicides. Comme ca, on peut passer à herbicide sur la culture, seul les mauvaises herbes sont détruites. Mais le sol (faune flore) est aussi détruit et les mauvaises herbes aussi finissent par acquérir des résistances. => Mort de l'écosystème
Revenons aux OGM en labo, la capacité de mettre directement un segment d'ADN (gène) dans le chromosome d'un individu, n'affecte en rien le risque alimentaire, on sait exactement pour qu'elle protéine code ce gène et si elle est toxique ou pas. Rem : les virus et des bactéries procéde de cette manière pour se multiplier, il introduise l'ADN dans le chromosome de la plante.
José Bové est d'abord qq de très petit esprit. Un peu comme ces gens qui s'attache au rail de chemin de fer pour empecher les convoits de déchets nucléaires (le nucléaire est quand même un bonne solution à moyen terme, ya d'autres problèmes bcp plus urgent comme les gaz à effet de serre)
Enfin voilà, arracher des plants de maïs pour des motifs bio c'est pas très net, et surtout pas cool pour l'agriculteur qui a déjà un métier assez difficile. Même l'environnement ne peut pas être touché, avec ces plants; les plants sauvages de maïs sont sous les tropiques et les croisements interspécifiques (entre espèces) est très peu probables. Autrement dit, le risque de dissémination est nul.
VIDEO A VOIR ABSOLUMENT (c'est un peu lent à charger)
Et puis, les OGM ont très probablement un impact environnementale inférieur aux pesticides qu'ils remplacent.==> voir vidéo (j'l'aime bien le gars, mais il exagère un peu quand même)
Dans tout les cas, il faut garder une diversité génétique pour lutter contre la plus part des pathogènes, respecter les principes de bases de l'agriculture, comme les rotations. (sc : edo)